> > C’est un Suisse qui rentre chez lui le soir. Sa femme lui dit :
> > - Tu sais, aujourd’hui y a un type qui est venu.
> > - Ah oui ? Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> > - Rien. Il est entré et il m’a attrapée.
> > - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> > - Rien. Il m’a enlevé tous mes vêtements.
> > - Ah oui ? Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> > - Rien. Il m’a jetée sur le divan et m'a prise par tous les côtés.
> > - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> > - Rien. Après, il est reparti
> > - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> > - Rien du tout.
> > - Mais alors, on ne saura jamais pourquoi il est venu !
> >
> >
> > Un type se présente au guichet du Pôle emploi :
> > - Quel est votre nom ? demande le fonctionnaire.
> > - Reggiano, sans P.
> > - Pardon ?
> > - Reggiano, sans P !
> > - Euh … excusez-moi, je ne comprends pas très bien.
> > - REG-GIA-NO, sans P !
> > - Mais... il n'y a pas de P dans Reggiano.
> > - C'est ce que je me tue à vous dire !
> >
> > Une jeune femme dit à son mari qui vient de rentrer du travail :
> > - Chéri, j'ai une grande nouvelle pour toi : très bientôt nous ne
> > serons plus deux dans cette maison, mais trois.
> > Le mari est fou de joie et embrasse sa femme, qui poursuit :
> > - Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive
> > demain matin.
> >
> > Un homme demande à son médecin :
> > - Et ça va me coûter combien, ce nouveau traitement qui pourrait
> > guérir ma belle-mère ?
> > - Entre 3000 et 4 000 euros.
> > - Laissez tomber, docteur. Les pompes funèbres m'ont fait une offre
> > plus raisonnable.
> >
> >
> > C'est un gars fortuné qui ne sait pas trop quel cadeau choisir pour
> > l'anniversaire de sa belle-mère.
> > Finalement, en désespoir de cause, il opte pour l'achat d'une
> > concession funéraire dans un cimetière huppé de la ville.
> > Mais un an plus tard, il ne lui achète rien.
> > - Alors, on n'a plus de considération pour sa belle-maman ?
> > - C'est-à-dire... je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que vous ne
> > vous étiez pas servi de mon cadeau de l'année dernière.
> >
> > Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se
> > marier avec sa petite amie.
> > Comme il n’est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la
> > messe nuptiale il s’approche du curé et lui demande :
> > - Excusez-moi, mon père, je sais qu’il est d'usage que les jeunes
> > mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré leur mariage, mais
> > je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
> > Le prêtre lui répond dans le creux de l’oreille :
> > - En général, c’est en fonction de la beauté de la mariée.
> > Plus elle est belle, plus la somme est élevée.
> > A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques
> > instants,
> > plonge la main dans sa poche et tend une pièce d’un euro au curé.
> > Le prêtre, un peu embarrassé, lui dit :
> > - Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie.
> >
> >
> > Une blonde va consulter son psy :
> > - Cette nuit, j'ai encore fait un rêve terrifiant qui me poursuit
> > depuis l'enfance, docteur.
> > - Racontez-moi ça.
> > - Je suis devant une porte que je dois absolument ouvrir. Alors je
> > pousse, je pousse et j'ai beau pousser de toutes mes forces,
> > elle refuse de s'ouvrir.
> > - Humm... Je vois...
> > - Ça dure comme ça toute la nuit et au réveil je suis complètement
> > épuisée et dans un état d'angoisse indescriptible. C'est grave, docteur
> > ?
> > - Intéressant... Même à moi, ça me fout la trouille.
> > Et sur cette porte, il y a quelque chose d'écrit ?
> > - Oui... Il y a écrit : "TIREZ".